La charge mentale “classique” est déjà un défi. Mais avec un enfant atypique (diabète, TDAH, dys, TSA…), elle devient constante, invisible, épuisante. Cet article met des mots sur ce poids et propose un premier pas concret pour souffler.

La plage colle encore aux orteils et, déjà, tout s’emballe : judo, cantine, codes perdus, PAI… Au milieu du remue-ménage, votre Déméter intérieure relève la tête. Pas de toge : des baskets, un tote bag, un calendrier. Elle souffle trois gestes simples : choisir, semer, laisser pousser. En septembre, on prépare le champ : suffisamment bien aujourd’hui pour ajuster demain.

Et si la surcharge mentale ressemblait à une machine à laver trop pleine ? Un article sensible et incarné sur la fatigue parentale… et l’ajustement possible.

"Calme-toi." Combien de fois l’avons-nous dit… sans être capables nous-mêmes de le faire ? Dans cet article, je vous parle de régulation émotionnelle. Pas celle qu’on enseigne du bout des lèvres, mais celle qu’on vit dans le chaos du quotidien. Parce que nos enfants n’apprennent pas ce qu’on leur dit. Ils apprennent ce qu’ils nous voient faire. Et tout commence par là.