Chez Post Malone & Jelly Roll, j’ai compris que ce qui nous touche, ce n’est pas la perfection mais l’émotion brute.

En parentalité aussi : nos enfants n’ont pas besoin de parents parfaits. Ils ont besoin de parents vivants.

Nos enfants n’apprennent pas ce qu’on dit. Ils copient ce qu’on vit. Alors avant de demander à votre enfant de se calmer, apprenez à apprivoiser vos propres émotions. Découvrez pourquoi la régulation parentale est la clé… et comment la mettre en pratique au quotidien.

L’ENT clignote, les couloirs se ressemblent, on avance à tâtons. Ariane (perfecto, lunettes, tatouages) tend deux bobines : une pour avancer, une pour revenir. Un pas humain, une sortie à 19 h, et un rituel banc-sas pour tenir le fil sans sur-contrôler. Ici, la mythologie vit dans la vraie vie — et la maison retrouve son centre.

La 6e n’est pas une simple rentrée : c’est un seuil, une traversée. Peurs, autonomie, soutien parental… et quelques dieux pour éclairer la route. Découvrez un rituel concret pour aider vos enfants à franchir ce cap avec plus de confiance.

La charge mentale “classique” est déjà un défi. Mais avec un enfant atypique (diabète, TDAH, dys, TSA…), elle devient constante, invisible, épuisante. Cet article met des mots sur ce poids et propose un premier pas concret pour souffler.

Répéter encore et encore les mêmes consignes… C’est usant, frustrant, parfois décourageant. Et si ce n’était pas un bug mais une étape essentielle de l’apprentissage ? Dans ce nouvel épisode de la série Mytho-parentalité, Sisyphe pousse sa pierre, et nous, parents, redécouvrons le pouvoir caché de la répétition. Spoiler : un nouveau dieu fait son apparition.

Nos ados en 6ᵉ, c’est un peu comme une bouteille de Coca secouée toute la journée : il suffit d’un Mentos (une dispute, un devoir…) pour que ça explose. Le vrai défi parental ? Ne pas s’énerver sur les éclaboussures… mais offrir un espace pour décharger.

Quand on est parent d’un enfant atypique, on cherche, on tente, on trébuche. Cet article raconte un chemin semé de doutes… et d’ouvertures inattendues. Une invitation à ne plus avancer seul·e, et à inventer un chemin qui vous ressemble.

La plage colle encore aux orteils et, déjà, tout s’emballe : judo, cantine, codes perdus, PAI… Au milieu du remue-ménage, votre Déméter intérieure relève la tête. Pas de toge : des baskets, un tote bag, un calendrier. Elle souffle trois gestes simples : choisir, semer, laisser pousser. En septembre, on prépare le champ : suffisamment bien aujourd’hui pour ajuster demain.

“Pretty isn’t pretty enough.” Derrière une simple chanson, j’ai vu deux jeunes filles en larmes livrer un cri générationnel : celui du “jamais assez”. La musique de nos ados est souvent un miroir de leur mal-être. Et si, au lieu de minimiser, on apprenait à écouter vraiment leurs playlists ?

Couvrir un livre, ce n’est jamais “juste” couvrir un livre. Derrière ce geste banal se cache la charge mentale parentale : imprévus, adaptations, vigilance constante.

Il n’existe pas un seul rythme de sommeil “normal”. Trois enfants, trois profils, trois façons d’apprendre… et une conviction : le sommeil n’est pas un tableau Excel. Découvrez comment observer, adapter et accueillir leurs différences pour retrouver des soirées plus légères.

Et si Sisyphe avait simplement eu… des enfants à préparer pour l’école ? Dans cet épisode spécial rentrée, le mythe grec croise le quotidien parental, ses réveils trop tôt, ses chaussettes dépareillées et son rocher invisible mais bien réel.

Le départ d’un enfant, c’est une secousse — un vrai 5 sur l’échelle de Richter. Le nid n’est pas vide, il change de forme. Découvrez comment transformer ce vertige en un espace de renouveau, pour vous comme pour eux.

Un petit scroll par-ci… une vidéo de chat par-là… et 30 minutes plus tard, vous êtes toujours là ? Bienvenue sur l’île du scroll, royaume du dieu Tikktokkios. Dans ce 2e épisode de la série Mytho-parentalité, Stéphane explore nos dérives numériques, leurs racines symboliques… et comment retrouver le cap grâce à Hermès, le messager des dieux.

Une machine en panne. Trois déesses. Une charge mentale qui déborde. Et si cette scène banale révélait bien plus qu’un simple bug domestique ?

Non, ce n’est pas du laxisme. FAFO, c’est une posture parentale qui fait de la place à l’expérience, sans abandonner le lien ni le cadre. Et ça change tout.

Un téléphone oublié. Un geste simple. Et Hermès, dieu des messages, qui souffle entre les lignes. Une scène réelle, une mythologie intime, une transmission.

ROI, KPI, multitâche… Et si on changeait de référentiel ? Voici une autre manière d’être en posture juste : respirer, observer, intégrer. Pas pour être parfait·e. Pour être là, vraiment.

Il ne le sait pas, mais Doisneau m’a soufflé bien des choses… Sur la lumière dans les silences, les visages flous, et ce qu’on choisit de révéler. Un texte-manifeste sur la parentalité, l’art de voir autrement, et cette résistance douce que je pratique, moi aussi.