La cantine n’est pas qu’une histoire de menus : c’est un terrain d’autonomie, d’adaptation et de confiance. Voici comment j’ai appris à passer du contrôle aux ponts, avec Hermès et Athéna en guides inattendus.
On croit souvent que la respiration calme toutes les crises. Mais parfois, les enfants ont besoin de bouger, crier, sauter… avant de souffler. Et si on osait sortir des recettes toutes faites pour inventer nos propres outils émotionnels ?
Nos enfants n’apprennent pas ce qu’on dit. Ils copient ce qu’on vit. Alors avant de demander à votre enfant de se calmer, apprenez à apprivoiser vos propres émotions. Découvrez pourquoi la régulation parentale est la clé… et comment la mettre en pratique au quotidien.
La charge mentale “classique” est déjà un défi. Mais avec un enfant atypique (diabète, TDAH, dys, TSA…), elle devient constante, invisible, épuisante. Cet article met des mots sur ce poids et propose un premier pas concret pour souffler.
Quand on est parent d’un enfant atypique, on cherche, on tente, on trébuche. Cet article raconte un chemin semé de doutes… et d’ouvertures inattendues. Une invitation à ne plus avancer seul·e, et à inventer un chemin qui vous ressemble.
La plage colle encore aux orteils et, déjà, tout s’emballe : judo, cantine, codes perdus, PAI… Au milieu du remue-ménage, votre Déméter intérieure relève la tête. Pas de toge : des baskets, un tote bag, un calendrier. Elle souffle trois gestes simples : choisir, semer, laisser pousser. En septembre, on prépare le champ : suffisamment bien aujourd’hui pour ajuster demain.
Couvrir un livre, ce n’est jamais “juste” couvrir un livre. Derrière ce geste banal se cache la charge mentale parentale : imprévus, adaptations, vigilance constante.
Il n’existe pas un seul rythme de sommeil “normal”. Trois enfants, trois profils, trois façons d’apprendre… et une conviction : le sommeil n’est pas un tableau Excel. Découvrez comment observer, adapter et accueillir leurs différences pour retrouver des soirées plus légères.
Une machine en panne. Trois déesses. Une charge mentale qui déborde. Et si cette scène banale révélait bien plus qu’un simple bug domestique ?
ROI, KPI, multitâche… Et si on changeait de référentiel ? Voici une autre manière d’être en posture juste : respirer, observer, intégrer. Pas pour être parfait·e. Pour être là, vraiment.
Et si courir n’était pas fuir… mais revenir à soi ? Depuis que j’ai repris la course, je découvre bien plus que des kilomètres : je redécouvre mon corps, mon rythme, et cette joie simple d’être pleinement là.
Voyager avec un enfant diabétique et coeliaque, c’est jongler avec Atlas et ses calculs, mais aussi célébrer chaque victoire comme un trésor. De Barcelone à New York, les dieux de la mytho-parentalité nous rappellent qu’au-delà du menu parfait, l’enjeu c’est la confiance, la capacité et le plaisir partagé.