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Les étiquettes, ça gratte. Ça gêne. C’est un fait.
Et Numéro3, avec son hyperesthésie, ne vous dira pas le contraire.

Ce soir encore, impossible pour elle d’ignorer une couture qui frottait.
Cette fois, pas une étiquette mais une couture mal placée.
Et là… à part enlever le vêtement, je n’avais pas de solution.

Les étiquettes sur les vêtements : utiles… puis inutiles

Soyons honnêtes : à quoi servent-elles vraiment ?
À connaître la taille, la composition, l’entretien… bref, à donner des infos utiles au moment de l’achat.

Mais une fois qu’on a lu ? Elles deviennent juste une gêne. Alors on coupe.

Chez Numéro3, c’est radical : il faut couper. Tellement radical qu’au début, je retrouvais des trous dans les vêtements 😅.

Depuis, j’ai appris à lui montrer comment couper, pour éviter les dégâts. (Parce que je ne pense pas toujours à couper les étiquettes tout de suite… un peu comme les antivols oubliés qui déclenchent les portiques du magasin et qu’on met 5 minutes à comprendre 😅).

Les étiquettes : des infos, pas une définition

Au fond, les étiquettes, ce ne sont que des informations.
Elles donnent une composition, quelques conseils d’entretien, une référence produit… mais elles ne disent pas comment utiliser le vêtement, quand le porter, ni avec quoi l’associer.

Elles ne disent rien non plus de son histoire, ni des souvenirs qu’il va porter avec vous.

Et si on considérait nos propres étiquettes de la même manière ?
👉 Comme une indication parmi d’autres. Ni plus, ni moins.

“Timide”, “rêveur”, “sensible” : ce ne sont pas des verdicts, ce sont des mots de passage.

Ils décrivent un aspect de la personne, à un moment donné (et par une personne donnée), mais ils n’épuisent jamais sa richesse.

Et surtout, ils ne disent rien de ce qu’elle deviendra.
Les Moires, elles, sont bien loin de ces étiquettes.

Et si on parlait des autres étiquettes ?

👉 Celles qu’on colle aux gens.

“Tu es timide.”
“Tu es nul.le en maths.”
“Tu es méchant.e.”
“Tu es lent.e.”

Ces phrases, répétées jour après jour, deviennent des vérités intérieures.
En coaching, on appelle ça des croyances.

Certaines portent, d’autres limitent.

Les croyances limitantes collent à la peau, grattent l’estime de soi, et finissent par enfermer.

Différences et richesses

Les pires étiquettes sont celles qui soulignent nos différences.
Celles qui disent : “Tu ne rentres pas dans la case.”
Celles qui transforment une singularité en défaut.

Et pourtant, la différence est une richesse.
J’aime rappeler à mes enfants cette phrase :

“Je suis différente comme toi.”

Chacun est unique, avec ses forces, ses failles, ses couleurs.
Comme un pull qui, avec le temps, prend l’odeur de la maison, se marque de souvenirs, devient fétiche.
Rien de tout cela n’apparaît sur son étiquette d’origine.

Osez couper les étiquettes ✂️

Les étiquettes sont parfois utiles, oui. Elles donnent un premier éclairage.

Mais elles ne définissent jamais toute la personne.

Alors, osez couper les étiquettes.
Pour vos enfants. Pour vous.

Et retrouvez la liberté d’être vous-même, avec vos forces et vos fragilités.
Car vos fragilités sont souvent vos forces cachées.

👉 Et si certaines étiquettes vous collent à la peau et grattent encore, je peux vous accompagner - en coaching ou en sophrologie - pour les ramollir, les transformer, et retrouver votre liberté intérieure.

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